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Erudite Life enseignement

Le Monde – Édification-Fonctionnement-Histoire

OmniScience : la nouvelle révolution Scientifique avec Erudite Life

Projet de soutenance de thèse. Réponse à l’appel à projets de l'ANR - Plan d'action 2016

Titre : La Naissance, la Construction, le Fonctionnement, l’Histoire, le Devenir de Notre Monde : l’Edifice Monde.

Cette thèse est le résultat et la réponse apportée à l’appel à projets de l’ANR formulé dans son plan d’action 2016, proposant à la communauté scientifique, de relever des défis majeurs. « Les défis couvrent des recherches à la fois fondamentales, finalisées et appliquées, des recherches sur des mécanismes fondamentaux et des recherches orientées selon des priorités thématiques à forts enjeux »

Extraits du plan d’action 2016 de l’ARN :

Le défi 1 du PA 2016 de l’ANR s’organise en 6 axes et 19 thèmes, allant d’objets de recherche amont à des applications multiples, contribuant directement au programme d’action Système Terre (Observation, prévision, adaptation) et aux 5 orientations de la SNR :

  • Orientation n°1 : Suivi intelligent du système terre,

Le domaine du climat touche l’ensemble des compartiments du système Terre : l’atmosphère et l’hydrosphère, dont océans et cryosphère, sont en interactions étroites avec la géosphère, la biosphère et les sociétés humaines sur le siècle actuel.

Tirer parti de grandes réanalyses mondiales du système Terre sur les dernières décennies voire siècles est encouragé pour une meilleure compréhension des modes de variabilités régionales et des extrêmes associés et de leur prévisibilité. Les échelles saisonnières à décennale, charnière entre prévision saisonnière et projections climatiques sur le siècle, s’avèrent indispensables à la prise de décision sur l’adaptation…

Des propositions de systèmes prévisionnels intégrés produisant des informations et des scenarii selon les origines possibles d’une crise ou catastrophe sont encouragées, le couplage de plusieurs systèmes d’alerte sera concerté en lien avec les acteurs et utilisateurs concernés. Selon les domaines, les systèmes prévisionnels privilégieront des périodes allant de quelques jours à quelques décennies, sur des étendues variables, d’une ville à une région. Ceci inclus les services climatiques au sens large, des scénarios à l’adaptation des sociétés, mais pas la prédictibilité du climat traité à l’axe 1 ci-dessus.

Défi sociétal 3 « Stimuler le renouveau industriel »

Cinq grands objectifs sont visés :

  • promouvoir     les     approches    systémiques, intégratives et, en général pluridisciplinaires que requièrent souvent les enjeux de l’énergie ;
  • mobiliser davantage toutes les disciplines scientifiques pouvant produire les Connaissances fondamentales utiles à cette transition énergétique, qu’elles relèvent des sciences de la matière (physique, chimie), des sciences de l’ingénieur (mécanique, génie des procédés…), des sciences de la Terre, des sciences du vivant, des mathématiques et des sciences de l’information et de la communication ou des sciences humaines et sociales ; ces travaux de recherche amont doivent nourrir les enjeux thématiques décrits dans les axes du défi ;
  • faire émerger et permettre l’exploration d’idées radicalement nouvelles et de concepts en rupture par rapport aux paradigmes existants : l’axe 1 est dédié à ce type de recherche.

Le Projet de soutenance de thèse, énoncé en titre, constitue la réponse du CQADSG au plan d’action de l’ARN.

Notons que les centres de recherches et les universités de France et du reste du monde n’ont pas relevé les défis proposés par l’ANR dans ce plan d’action 2016.

La Science nationale et internationale continue de monnayer ses recherches et de vendre ses enseignements.

La réponse du CQADSG :

La Naissance, la Construction, le Fonctionnement, l’Histoire, le Devenir de Notre Monde : l’Edifice Monde.

La Naissance : ce n’est pas celle de la Genèse biblique, ce n’est pas celle du modèle Big Bang de la Science.

Le Devenir : ce n’est l’Apocalypse des Évangiles, ce n’est pas le Big Crunch de la Science.

La construction :

L’Espace : sa géographie, sa capacité volumique, en km3, en quantité de volumes de Soleil, sera donnée.

Ce n’est pas le cas de la Science qui enseigne que l’Espace n’existe pas.

Le Temps : le T-zéro, la seconde = 10^-9,8 – La constante T (année secondes) qui est le cycle d’évolution ou de transformation des composantes de l’Edifice monde. Le nombre d’années seconde écoulées depuis le T-zéro à cette année 2025 sera dévoilé et même la quantité de secondes.

Ce n’est pas le cas de la Science qui enseigne que le Temps n’existe pas.

L’âge cosmologique de la Terre sera dévoilé. Cet âge sera confirmé en Géologie lors de la présentation du fonctionnement de la Terre.

Ce n’est pas le cas de la Science qui ne sait pas comment fonctionne une planète.

L’Organisation du Cosmos (de l’Espace) : Cette organisation repose sur la Gravité Duale.

Ce n’est pas le cas de la Science pour qui l’Espace n’existe pas, et dont les gravitations enseignées (la gravitation universelle de Isaac Newton et la relativité restreinte de Albert Einstein) ne prédisent pas les observations précises et pertinentes publiées au fil des décennies.

Le fonctionnement :

Les Fonctionnements spécifiques des Objets « Ob » et Phénomènes « Ph » physiques (Ob-Etoile, Ph-Galaxie, Ob-Planète, Ph-Eau (Océans, Fleuves, Rivières, Lacs), Ph-Continent (Montagnes > Déserts) Ph-Atmosphère (Organisation géographique, Couleurs, Précipitations, Tempêtes, Ouragans), Ph-Climat (Rapport/circulation orbitale du Soleil : 6 000 ans Aphélie « tendance glacière » / 6 000 ans Périhélie « tendance incendiaire ») Nous aurons à déceler la position exacte du Soleil sur son parcours orbital. Sachant que les données « orbite et vitesse orbitale sont établies avec précision par l’Art Mathématique, et qu’il y a 6 000 ans il a sévi une ère glaciaire, l’observation satellitaire devrait permettre de parvenir à ce résultat. De là, il sera possible de déterminer, avec exactitude, l’évolution du climat sur le cycle de 12 000 ans.

PS : La proposition « gaz à effet de serre de la Science est absurde » pourquoi ? L’explication sera donnée.

Les Fonctionnements Objet Vivant (Ob-Espèces Végétales, Animales) Ob-Individus.

Ob-Humain (Ob-Espèce, Ob-Individu). Questions résolues : (Pourquoi et comment la mort ? – Pourquoi et comment la durée de vie ? – Pourquoi et comment les femmes vivent-elles plus longtemps que les hommes ? – Pourquoi et comment l’accroissement de stature au cours des âges ? – Pourquoi et comment la mort survient-elle au bout de 3,8 jours de privation de boire de l’eau ? – Pourquoi et comment la mort survient-elle au bout de plusieurs mois de privation de nourriture ? – Les Maladies dites « incurables » : la Science soigne – l’OmniScience pourra guérir …)

L’Histoire :

L’Histoire authentique et intégrale de l’Edifice Monde et du Vivant figure dans le document « Echelle des Temps Spatio-Astronomico-Géologiques » sachant que la partie « Géologique » intègre les Temps fossilifères.

C’est un document qui résulte du traitement physico-mathématico-numérique du rayonnement thermique de l’instant T-zéro. Traitement intitulé « Propagation statistique, spatiale et temporelle ».

Ce traitement instruit avec précision du fonctionnement de l’Énergie et informe de ce que l’on peut considérer comme le « zéro absolu ». Etc., etc.

Je suis en quête d’un lieu physique pour délivrer cet enseignement mais également pour réaliser l’Horloge Universelle, pour réaliser et diffuser les films ou vidéos de l’histoire de l’Edifice Monde et du Vivant, pour réaliser un prototype de centrale de production d’Énergie « naturelle ».

Ce qui implique un recrutement de : Chercheur en IA, Programmeur SIG, Opérateur de saisie SIG et cartographie, Programmeur Python, d’ingénieurs des compagnies EDF, Air liquide, … etc.

En l’absence de toutes possibilités, Cette thèse sera présentée sur les sites web : https://quinternaire.org et https://quinternaire-edifice-monde.com

Observations des mouvements d’objets stellaires. Une triple invalidation.

Compte tenu de la concentration d’objets en mouvement et de la durée des trajectoires, il ne s’agit pas d’étoiles.

Il s’agit de planètes. Il s’agit des planètes Jupiter et Saturne et leurs lunes. Observations opérées depuis un télescope terrestre. Le problème des observatoires spatiaux et terrestres c’est de ne pas disposer d’optique visionnant des couleurs naturelles.

Cette observation de très longue durée invalide les théories de gravitation de Isaac Newton (en partie) et de Albert Einstein en totalité. Elle invalide les lois de Johannes Kepler. Elle invalide la notion de systèmes d’étoiles. Et donc la notion de système Solaire.

Impossibilité physique de la Subduction. Les SVT sont en échec.

Impossibilité physique de la Subduction. Les SVT sont en échec.

Document « La dérive des continents. » Page 196.

Stephen Moorbath : « Vu la faible densité de la croûte continentale, celle-ci ne peut être entraînée et recyclée dans le manteau. On comprend mal comment certains géologues peuvent nier cette évidence et considérer le recyclage du matériel crustal dans le manteau comme l’un des phénomènes majeurs de l’évolution de la croûte continentale. Celle-ci est indestructible, car une fois formée, elle ne peut plus être impliquée dans un processus de subduction. Il s’agit là d’un principe fondamental de la théorie de la tectonique des plaques, comme l’a justement fait remarquer D.Mac Kenzie, l’un des pionniers de cette nouvelle théorie. »

En effet la Croûte océanique a une densité de 2,7 et le Manteau supérieur 3,8. Avec une différence de densité aussi considérable, la croûte océanique est insubmersible dans le manteau supérieur. Si donc la croûte océanique ne peut pas, physiquement, pénétrer dans le manteau, alors la subduction est un phénomène inexistant.

La tectonique des plaques n’existe pas.

La science ne dit jamais la vérité : André Brahic, chercheur au CEA.

La science ne dit jamais la vérité : André Brahic, chercheur au CEA.

Descartes : « Toute connaissance qui peut être rendue douteuse ne doit pas être appelée science. »

L’établissement du caractère douteux d’une science doit conduire à décréter son statut de non-science. Souvent, les prolongations abusives de validité des dogmes sont le fait des scientifiques eux-mêmes. Et il ne s’agit pas d’une simple résistance au changement. Jean Maisonneuve explique pourquoi : « L’appartenance à un groupe conduit chacun à résister aux changements d’attitude que cherchent éventuellement à provoquer soit une propagande massive, soit certains membres d’autres groupes. Ce contrôle de l’entourage s’exerce de façon inhibitrice dans le sens de la rigidité, par la crainte qu’éprouve le sujet d’être rejeté s’il met en question les habitudes et les croyances communes ; de façon plus positive, par un sentiment de solidarité dans la fidélité aux modèles établis ». Schanck, que cite Maisonneuve, souligne : « Personne ne croit plus, mais chacun croit que les autres croient… et cela continue… Beaucoup d’attitudes ne se maintiennent que par une illusion sur l’universalité des opinions au sein du groupe. » La peur d’être montré du doigt, la peur de cette nouvelle inquisition qu’on stigmatise de « pensée unique ».

L’illusion universelle se conforte d’autant mieux qu’elle reflète l’opinion d’un ténor patenté.

Maisonneuve : « Des études différentielles ont établi que la tendance générale à adopter l’opinion dominante est renforcée par divers facteurs : la non-ambiguïté de la situation, le caractère public de l’expression des personnes, le degré de consensus préalable, le prestige de la source d’influence. »

Le fameux prestige de la source d’influence ! ‘’Le poids d’une autorité en matière de…’’

Le plus souvent, par amitié pour des maîtres prestigieux, les élèves n’osent pas prendre le contre-pied de leurs thèses, préférant l’amitié à la vérité. C’est une façon de s’assurer à bon compte un certain avenir, de préserver une notoriété surfaite.

Aristote : « Et c’est aussi pour nous une obligation, si nous voulons du moins sauvegarder la vérité, de sacrifier même nos sentiments personnels, surtout quand on est philosophe : vérité et amitié nous sont chères l’une et l’autre, mais c’est pour nous un devoir sacré d’accorder la préférence à la vérité. »

Bachelard : « La vérité scientifique est une vérité qui a un avenir. » Bien avant qu’il n’écrivît cette phrase, d’aucun avait perçu que l’intérêt était moins de démontrer le caractère vrai d’une thèse scientifique que de faire passer pour vérité une quelconque assertion.

Il est urgent de passer à l’OmniScience.

Conflit russo-ukrainien : une guerre nucléaire en 2026 ! Pourquoi ? Comment ? Quelles conséquences ?

Auteur : Jean-Claude ALLAMELLE Président du CQADSG (Centre Quinternaire d’Analyse de données Scientifiques et Géodésiques).

Jaurès, jadis, prononça cette phrase : « La Terre a été longtemps plus grande que l’homme, et elle a imposé à l’humanité la loi de la dispersion. Maintenant, l’homme est plus grand que la Terre. »

D’après ce grand homme politique et tribun fameux, nous ne sommes plus à l’époque où c’est seulement la Nature qui déterminait le devenir de la Vie.  Désormais l’humain est investi du destin du monde.

C’est faux. Archi faux ! Mais la classe scientifique en a accepté l’augure. Et depuis, la classe politique en fait son miel.      

Désormais, la possession d’ogives nucléaires, fait croire aux dirigeants du monde qu’ils disposent des moyens technologiques pour dézinguer la Planète et suicider l’Humanité. Depuis, qui a pu se procurer ces armes dites de destruction massive, s’arroge le droit d’« agresser » en vue de s’approprier, en toute impunité, des nations supposées faibles.

James a prévenu : « L’enfer dans la vie future promis par la théologie, ne peut être pire que celui que nous créons dans la vie terrestre en orientant mal nos dispositions. »

La guerre en Ukraine va se terminer en conflit nucléaire en 2026. Pour 2 raisons !

1) Agressivité galopante et agissante côté pile.

2) Peur croissante et paralysante côté face.

Question : Un conflit nucléaire peut-il dézinguer la planète Terre et suicider l’Humanité toute entière ?

Dans les Arsenaux mondiaux il a été recensé 9 585 ogives dites nucléaires. Examinons un échantillon de celles figurant dans les arsenaux des pays les plus « dotés » quantitativement.

Ogive russe SS-18 : 7 200 kg

Ogive russe 15B99 : 1 412 kg

Ogive américaine w 53 : 3 990 kg

Ogive américaine fat man Nagasaki : 4 545 kg

Ogive américaine Hiroshima : 4 400 kg

Une ogive de type russe SS-18 aurait un impact surfacique de 31 km² et un impact volumétrique de 16 km3

Une ogive de type russe 15B99 aurait un impact surfacique de 1,2 km² et un impact volumétrique de 0,12 km3

Une ogive de type américaine w 53 aurait un impact surfacique de 10 km² et un impact volumétrique de 3 km3

Une ogive de type américaine Nagasaki aurait un impact surfacique de 12 km² et un impact volumétrique de 4 km3

Une ogive de type américaine Hiroshima aurait un impact surfacique de 12 km² et un impact volumétrique de 4 km3

Imaginons une hypothèse maximaliste : 9 585 ogives, de chaque type, lancés de conserve.

Un tel évènement aurait, sur la Terre, un impact surfacique de 633 185 km² et un impact volumétrique de 260 394 km3.

Rappel :

La Terre a une masse de 6 273 003 443 584 860 000 000 000 kg (plus de 6 millions de milliards de milliards de kg)

La Terre a une superficie de 535 976 502 km² (plus de 500 millions de km²)  

La Terre a un volume de 1 166 789 302 705 km3 (plus de 1000 milliards de km3)

Un tel évènement n’infligerait même pas une égratignure à la Nature.

Quelles seraient, alors, les vraies conséquences d’une guerre de ce type ?

1) Première conséquence, la durée : 1 jour. Un seul.

2) Deuxième conséquence, le nombre de victimes : 1 000 fois moins que le dernier conflit mondial.

3) Troisième conséquence : 90 % des victimes seront issues de la population de l’état côté pile. Le dirigeant compris.

Pour éviter un tel événement le coté face doit se grandir en courage.  La peur est du côté pile. Car c’est la peur qui stimule l’agressivité... jusqu’à la folie. Le dirigeant acculé préférant tout perdre (son peuple, sa famille, ses amis, sa vie) … que perdre son pari.

Le rayonnement thermique. L’effet Glyphe.

Auteur : Jean-Claude ALLAMELLE Président du CQADSG (Centre Quinternaire d’Analyse de données Scientifiques et Géodésiques).

[Les résultats cosmologiques de la mission Planck]

« 5. Visualisation dans l’espace réel de la corrélation entre le fond diffus infrarouge (FDI) de galaxies et le potentiel gravitationnel. Extraits de un degré carré de la carte des températures du fond diffus infrarouge mesurée à la fréquence 545 GHz de Planck-HFI, réalisés en superposant les zones centrées sur les 20 000 pics d’intensité les plus brillants (à gauche), les moins brillants (au milieu) ou choisies aléatoirement (à droite, pour s’assurer que la méthode n’induit aucun effet systématique).

Les couleurs traduisent l’intensité de l’émission du fond diffus infrarouge, les flèches tracent par leur longueur et leur direction la déflexion par effet de lentille gravitationnelle sur le rayonnement fossile. On voit que les maximas de température du FDI (en rouge) défléchissent la lumière vers l’intérieur et correspondent donc à des puits de potentiel gravitationnels, alors que les minima de température (en bleu) correspondent à des maximas de potentiel. (Figure tirée de Planck Collab. XVIII, A&A 571 (2013) A18.)

En corrélant la carte de matière sombre déduite de l’effet de lentille gravitationnelle sur le CMB aux positions des galaxies et aux amas connus, la collaboration Planck a montré de manière magistrale que le modèle hiérarchique de formation des structures cosmiques décrit dans ses grandes lignes parfaitement bien la distribution et l’agrégation des objets astronomiques jusqu’à des époques très reculées, correspondant à un décalage vers le rouge de l’ordre de 2.

Par ailleurs, la corrélation des cartes de l’effet de lentille gravitationnelle et de l’émission du FDI (fond diffus infrarouge, qui représente l’ensemble de l’émission des galaxies de l’Univers le long de son histoire et trace la formation stellaire dans les galaxies), toutes deux mesurées par Planck, illustre parfaitement la concomitance de la formation des étoiles dans les galaxies avec la présence d’une densité de matière sombre distordant le CMB (fig. 5). »                  https://www.refletsdelaphysique.fr/articles/refdp/pdf/2020/01/refdp202064p4.pdf

Commentaires de Jean-Claude ALLAMELLE du CQADSG.

Les données dites « FDI » ne sont pas des émissions galactiques. Les galaxies ne sont pas des objets physiques et ne participent pas de la définition de l’Univers. Les données recueillies relèvent des sources diverses et ne représentent qu’un faible échantillon des données présentes dans le Cosmos. J’ai réalisé une simulation de la propagation rayonnement thermique issu de la source de l’évènement qualifié Big Bang, et qui a mis au jour la totalité de la nomenclature des données. Cette simulation a été faite sur ordinateur et à partir du tableur Excel. Cette simulation a été réalisées à partir de la définition de la dynamique et de la physique du rayonnement thermique, qui suit.

1-Niels BOHR : « De ce dernier point de vue, il reste, entre autres problèmes, à se demander comment celle-ci produit celle-là. Car la lumière ne naît pas ex nihilo ; elle ; elle surgit nécessairement du sein de la matière ! »

2-CEA : « Les ondes se propagent sous la forme de sphère et se déplacent à la vitesse de la lumière, c’est-à-dire à 300 000 kms par seconde. » Cela veut dire que le rayonnement thermique ou lumineux ne se propage pas en ligne droite, mais se diffuse à 360°.

3- Murat BORATAV (professeur à l’Université Paris 6 et chercheur au Laboratoire de physique nucléaire et des hautes énergies, à Paris) et Tiina SUOMIJÄRVI (professeur à l’Université Paris-Sud 11 et chercheur à l’Institut de physique nucléaire d’Orsay), disent ceci : « Ce glissement conceptuel consiste à se représenter les champs, non plus comme décrivant les simples propriétés des objets-sources, celles précisément d’attirer ou de repousser, selon des lois bien établies, des objets distants, mais comme des entités existant par elles-mêmes (ou, pour être tout à fait précis, comme des grandeurs mesurant des entités de cette nature). Du moins conviendrons-nous de dire ceci dans toute la mesure où nous estimons pouvoir donner un sens au verbe exister. Celui-ci, en effet, n’a de sens « évident » qu’en apparence et nous ne concevons immédiatement qu’il s’agit, soit d’entités mathématiques, soit d’objets usuels pour lesquels les souvenirs d’expériences sensibles viennent à notre aide. Ce que le nouveau point de vue apporte c’est évidemment que les champs peuvent maintenant exister même en l’absence de tout « objet » capable de leur servir de source. Or c’est là précisément ce qu’on observe. Certes il est vrai qu’un champ électrique statique – pour prendre cet exemple – suppose l’existence en quelque endroit d’une charge électrique qui en soit la source et que la suppression de cette source entraîne la disparition du champ. Mais en revanche une onde électromagnétique – c’est-à-dire l’association de champs électriques et magnétiques périodiques dans le temps – peut subsister (comme chacun sait) même quand la source est supprimée ou est mise hors d’état d’émettre (c’est ainsi que nous recevons la lumière d’étoiles qui n’existent plus). En raison de ce fait et de faits analogues il n’y a en définitive pas de raison de nier la réalité des champs eux-mêmes ou plus exactement de quelque entité à laquelle les champs sont attachés. Il ne faudrait cependant pas croire que cette entité soit une sorte de fluide – d’éther – dont les champs périodiques seraient les vibrations. La réalité est beaucoup moins simple… suivent. »  En clair, ce qu’il faut comprendre des propos de Murat BORATAV et de Tiina SUOMIJRVI c’est que le rayonnement, une fois émis, se coupe de sa source et continue de se propager en laissant une trace dans l’espace, dans le vide comme un individu qui avance sur la neige en laissant derrière lui ses pas imprimés sur le sol à mesure qu’il avance. Effectivement, le rayonnement laisse sa trace dans le vide : une empreinte gravée dans le vide. Murat BORATAV et Tiina SUOMIJRVI évoquent l’idée d’un fluide, d’un éther. En fait, il n’en est rien. Ce sera expliqué plus loin.

5- SACADURA Jean-François – Université de Lyon. L’Equation de propagation du rayonnement thermique – document INITIATION AUX TRANSFERS THERMIQUES – Page 93 et 94. « Evaluation du Flux radiatif reçu sur une surface plane circulaire S de rayon r 1 m, en provenance d’une source ponctuelle Φ de 100 W placée à une distance D de 1 m de S, sur la normal à son centre C.

En fait, la prouesse technologique des concepteurs des sondes Planck et WMAP réside dans le fait d’avoir conçu l’instrument de lecture des images inscrites dans le Cosmos, dans le Ciel, dans l’Espace. Car ce sont des images. La preuve en est qu’à 10 ans d’écart les sondes américaine et européenne ont fourni les mêmes données.

Ces images sont des « glyphes ». Les différentes cathégories de glyphes sont :

Les Cosmo-glyphes qui traitent de l’Espace et du Temps.

Les Astro-glyphes qui traitent des Etoiles et des Planètes.

Les Gravito-glyphes qui traitent de la Gravitation.

Les Géologo-glyphes qui traitent de la Géologie.

Les Atmospho-glyphes qui traitent de l’Atmosphère.

Les Techno-glyphes qui relève d’engins satellitaires en orbite.

Les Webbo-glyphes.

Tout Objet physique naturel ou technologique qui produit de la « chaleur », engendre des glyphes.

Les sondes WMAP et PLANCK ont rapporté chacune un très faible échantillon de données.

La raison est double.

1-Le positionnement statique des sondes. Ce genre d’opération serait plus efficace par mission de type Voyager.

2-Par insuffisance de puissance en Watt du vecteur de lecture. Pour balayer la totalité du spectre de la sphère céleste il faudrait une puissance de x millions de gigawatts.

Les échantillons glyphes rapportés par les deux satellites sont de sources diverses : des Cosmo-glyphes, des Astro-glyphes, des Gravito-glyphes, des Techno-glyphes.

Je propose aux institutions ESA, CEA, CNRS, BRGM, NASA, IAP et d’autres, d’organiser une conférence qui me permettrait de présenter ma simulation du rayonnement du émis par l’évènement qui a initié la Naissance du Monde. La Naissance de l’Edifice Monde.

La Révélation de la Connaissance : deux méthodes.

La méthode Science et la méthode OmniScience.

Définition conceptuelle de la Connaissance.

« La Connaissance se cherche, se trouve, s’enseigne, s’acquiert. Il s’agit d’une activité à la fois individuelle et collective. »

La méthode Science

En matière de recherche, la Science énonce des questions, auxquelles elle soumet des hypothèses. Ces conjectures finissent en apories. Résultats : les questions énoncées par les chercheurs scientifiques demeurent ouvertes indéfiniment. En somme, en matière de recherche, la pratique scientifique se résume à un triptyque maléfique « quiz/hypothèse/aporie ».

Résultat : la Science forme des cohortes des chercheurs qui ne trouvent pas. Elle ne trouve pas, mais elle enseigne ses apories et forme des docteurs en apories.

La méthode OmniScience

En matière de recherche, l’OmniScience procède de l’Art Mathématique.

L’Art mathématique c’est quoi ?

Pour répondre objectivement à cette question, je vais faire appel à un extrait du document intitulé « Mathématique, sciences et musique une introduction historique » de Éric Decreux paru aux éditions Ellipses en 2008.

« La conclusion souligne que, concernant (comme ailleurs), les mathématiques, au cours des vingt-cinq siècles qui vont de Pythagore à Xenakis, ont été un formidable outil de description mais pas d’explication ».

L’Art Mathématique c’est la transformation des mathématiques en outil d’explication et même davantage, en outil de démonstration.

Pour « élaborer » une musique mirifique, le compositeur dispose d’un clavier de piano sur lequel il jouera des notes inspirées.

Pour « formuler » des explications et concevoir des démonstrations mathématiques, j’utilise le clavier d’un ordinateur et je joue, sur tableur, des fonctions de mon inspiration.

Aux questions énoncées par la Science, l’Art Mathématique modélise et simule les processus fonctionnels des objets et des phénomènes physiques ciblés. Ces modèles, une fois simulés, produisent des données numériques (des nombres) qui font l’objet de traitements mathématiques par des équations déduites des modélisations simulées de l’Art Mathématique. Ces traitements valident les résultats des simulations effectuées. Ces résultats fournissent des explications précises et concises relatives aux fonctionnements et aux évolutions des objets et des phénomènes physiques « simulés ».

Cette pratique s’inspire de la préconisation suivante de William Thomson – Lord Kelvin 1824-1907 : « Si vous mesurez ce que vous étudiez et l’exprimer en nombre, vous savez quelque chose à son sujet, mais si vous ne savez pas le faire, votre connaissance ne reste qu’approximative, maigre et insuffisante. »

Au final, l’OmniScience peut être définie comme suit : « C’est la compilation des réponses expliquées, explicitées et démontrées apportées aux questions énoncées par la Science ».

Par exemple, s’agissant du Big Bang, l’art mathématique m’a permis de révéler les paramètres physiques de cet évènement, de déterminer la physiologie du phénomène et de localiser son lieu source dans l’Espace et dans le Temps.

La simulation effectuée à propos de cet évènement explique et démontre que Espace et Temps sont des objets physiques réels, mesurables et mesurés.

Cette démonstration sera la première à être enseignée (dévoilée). Elle fera suite à la présentation qu’avait faite George F. Smoot prix Nobel en physique 2008 sur le sujet. A savoir son film intitulé « L’aube de l’Univers (Professeur Georges Smoot) »

Il y aura donc une première confrontation Science / Omniscience.

A savoir une présentation de type « description » de la Science par un scientifique reconnu et titré, qui a été recruté professeur à l’Université Paris Diderot en février 2010.

Puis une présentation de même facture du film de François Bouchet de l’Institut d’Astrophysique de Paris intitulé « 2014 François Bouchet Les résultats de la sonde spatiale Planck »

A l’issue de ces deux présentations je ferai (Jean-Claude ALLAMELLE) la présentation « explication – démonstration » Omniscience de l’évènement Big Bang simulé Art Mathématique.

Tous les sujets relatifs à l’édification, au fonctionnement et à l’histoire de l’Edifice monde seront traités sur la base de ce scénario.

Ces conférences se tiendront sur des espaces dédiés CQADSG. Elles ne doivent pas se produire en territoires dédiés Science. Il s’agit d’éviter le risque de confusion.

L’Art Mathématique ne se cantonne pas aux simulations et aux expérimentations d’objets et de phénomènes physiques constitutifs de l’Edifice Monde.

Ainsi, l’Art Mathématique permet, par exemple, de révéler les paramètres physiques d’un phénomène tsunamique d’ampleur et de localiser le lieu source d’un tel évènement.

L’Art Mathématique permet également de prédéterminer la masse d’une bombe, l’altitude à la verticale de la cible il faut la larguer, et cela, en fonction des objectifs périmétriques visés. Par exemples :

– Détruire un immeuble, et pas au-delà.

– Détruire un quartier, et pas au-delà.

– Détruire une ville et, pas au-delà.

– Détruire une montagne, et pas au-delà.

– Détruire un pays, et pas au-delà.

– Détruire une planète ? Est-ce possible ?

Pour détruire une planète comme la Terre, il faudrait disposer d’une bombe de masse équivalente à 3 fois celle de la Lune.

Cette bombe devrait être lancée depuis le lagrangien terrestre. Chaque étoile, chaque planète dispose d’un lagrangien approprié à un objet d’une certaine masse. Ce lagrangien est une fonction relative à 2 masses en présence. Le lagrangien de Terre (masse Terre) / (masse 3 Lune) calculé par la Gravitation duale est de : 336 962,729 km. Le Lagrangien c’est la distance de non-attraction d’un objet en fonction de sa masse intrinsèque.

La vitesse de chute de cette bombe sera de = 9 352 718 km/seconde.

A une telle vitesse il y a un vrai risque de pulvérisation planétaire.

Aucune industrie terrienne humaine n’est capable, ni ne le sera à l’avenir, de concevoir une telle bombe ni le vecteur nécessaire pour la propulser à cette altitude de 336 962 km.

Cette impossibilité s’applique à l’ensemble des objectifs énumérés ci-dessus et pour les mêmes raisons. Effectivement, les bombes nécessaires, de masses considérables, n’existent pas dans les arsenaux mondiaux et ne sont pas prêtes d’y être. Ces types de bombes comme les vecteurs pour les orbiter n’existent pas et sont hors de portée des capacités industrielles, technologiques et pécuniaires humaines.

Et donc hors de portée de la folie humaine.

Les récents bombardements d’installations d’infrastructures dites nucléaires en Iran en témoignent.

En conséquence, les menaces des pays dits « dotés de l’arme nucléaire » relèvent de l’esbrouffe.

Quelques exemples de Lagrangien et de vitesses de chute par rapport à la masse de la Terre.

Rappel : le Lagrangien est la distance à laquelle un objet d’une certaine masse est hors de portée de l’attraction de la Terre. A cette occasion on peut parler d’« apesanteur » s’agissant d’un humain, ou bien de « point L4 ou L5 » spécifique s’agissant d’un satellite d’observation ou autre. Ainsi chaque objet, en fonction de sa masse dispose d’un point L4 ou L5 propre.

(Lagrangien) d’un satellite 700 KG = 173 160 km.

Vitesse de chute d’un satellite 700 KG = 1 147 km/s.

(Lagrangien) d’un SPATIONAUTE 100 Kg = 24 737 km.

Vitesse de chute d’un SPATIONAUTE 100 Kg = 164 km/s.

(Lagrangien) d’un SPATIONAUTE 80 KG : 19 790 km.

Vitesse de chute SPATIONAUTE 80 KG = 131 km/s.

(Lagrangien) d’un SPATIONAUTE 60 KG = 14 842 km.

Vitesse de chute SPATIONAUTE 60 KG = 98 km/s.

L4 et L5 de Euler ne sont pas des points de Lagrange universels.

Contrairement aux assertions de la Science, dans le vide, les corps ne tombent pas à la même vitesse. La Terre, comme l’ensemble des astres sont dans le vide. Quand on lâche d’un avion des groupes de parachutistes, on observe que les individus ne posent pas les pieds en même temps sur le plancher des vaches.

Vent de panique sur la recherche de solutions visant à retrouver l’équilibre des finances publiques en France.

Avec l’Art Mathématique, la solution idoine en une journée.

Il est possible de simuler les impacts des solutions envisagées. Pour ce faire, il faut mettre en perspective l’exhaustivité des sources de flux créditeurs et l’exhaustivité des flux débiteurs.

Les flux créditeurs étant les impôts, les emprunts, les redevances, les cotisations, les taxes, chaque type de TVA, CSG, CRDS, etc. Les flux débiteurs étant la totalité des subventions par type, la totalité des dépenses sociales, les masses salariales par secteurs, etc. La totalité des dépenses d’agences et de comités, les remboursements d’emprunts.

Ces flux sont mis en propagation parallèle sur un horizon minimum de 15 ans.

Il convient de considérer ces flux comme autant de fleuves ou de rivières. Chacun des flux peut et doit faire l’objet d’un traitement particulier, un traitement de robinetterie.

Fermer le robinet. Réduire le débit. Augmenter le débit. Toutes ces décisions sont à la main des acteurs du conseil des ministres.

Je pourrais, sur demande expresse, réaliser l’application et procéder au traitement à l’occasion d’un séminaire gouvernemental spécifique.

La simulation de l’impact est faite en live.

La solution à ce problème ne relève pas de la compétence de spécialistes de l’économie ou de la comptabilité analytique, même utilisant l’IA. A l’inverse de l’Art Mathématique, l’IA ne génère pas d’informations explicatives et encore moins démonstratives.

La résolution du problème procède de la maitrise des flux financiers. Et cela relève exclusivement des décideurs gouvernementaux.

Décrypter l’Univers : Deux méthodes.

Méthode numéro 1 : Méthode NASA

Simulation réalisée avec un supercalculateur budgété à 1,8 milliard de dollars basé au Laboratoire national d’Oak Ridge (ORNL) dans le Tennessee. Article de Brice Louvet le 14 février 2025.

La Méthode NASA.

La méthode NASA repose sur les attendus de la Relativité générale d’Albert Einstein. Pour parler simplement, on peut dire que cette Relativité générale repose sur un théorème et deux corollaires.

Le théorème : « L’Univers est une sphère euclidienne ». La géométrie euclidienne s’applique à la surface d’une sphère. Cela veut dire que selon la Relativité générale, l’Univers est une Sphère surface. L’Univers physique est une surface sphérique.

« En géométrie dans l’espace, une sphère est une surface constituée de tous les points situés à une même distance d’un point appelé centre. La valeur de cette distance au centre est le rayon de la sphère. La géométrie sphérique est la science qui étudie les propriétés des sphères. La surface de la Terre peut, en première approximation, être modélisée par une sphère dont le rayon est d’environ 6 371 km.

Plus généralement en mathématiques, dans un espace métrique, une sphère est l’ensemble des points situés à même distance d’un centre. Sa forme peut alors être très différente de la forme ronde usuelle. Une sphère est également un ellipsoïde dégénéré.

Une sphère « pleine » est une boule, dont les points ont une distance au centre inférieure ou égale au rayon. » Extrait Wikipédia.

Ainsi, pour la relativité générale et pour la communauté de la Science qui s’efforce de percer les mystères de l’Univers à l’aune des articles d’Albert Einstein, l’Univers aurait l’apparence et la consistance d’une boule de type pétanque.

Les deux corollaires :

Corollaire numéro 1 : l’Espace n’existe pas. Comment déterminer l’organisation du Cosmos si l’Espace n’existe pas ?

Corollaire numéro 2 : le Temps n’existe pas. Comment déterminer l’âge de l’Univers si le Temps n’existe pas ?

Méthode de la NASA : expérimentation avec un supercalculateur.

Simulation réalisée avec un supercalculateur budgété à 1,8 milliard de dollars basé au Laboratoire national d’Oak Ridge (ORNL) dans le Tennessee. Article de Brice Louvet le 14 février 2025.

Brice Louvet précise : « Ce supercalculateur a récemment créé une simulation cosmologique d’une échelle et d’une complexité inédites, offrant ainsi un aperçu plus détaillé de l’univers que jamais auparavant. Ce projet, connu sous le nom de ExaSky, est l’un des plus ambitieux dans le domaine de la cosmologie et a permis de modéliser des phénomènes aussi complexes que l’expansion de l’univers et l’impact de la matière noire.

Ce programme vise à développer des superordinateurs capables de réaliser des simulations scientifiques à une échelle bien plus grande que ce que l’on pensait possible. Frontier, l’un des supercalculateurs les plus puissants au monde, joue un rôle central dans ce projet.

La plateforme logicielle utilisée pour cette simulation s’appelle le Hardware/Hybrid Accelerated CosmologyCode (HACC).

Grace à cette technologie avancée, les chercheurs ont pu simuler l’évolution de l’Univers avec une précision jamais atteinte. Ce modèle de cosmologie hydrodynamique permet d’intégrer une grande variété de phénomènes physiques, allant de la gravité à l’influence de la matière noire en passant par les gaz et les plasmas présents dans l’Univers. Bien que sophistiqués, les modèles précédents ne prenaient en compte qu’une partie des facteurs, notamment la gravité et les propriétés du gaz ou du plasma.

En somme, cette expérimentation a tout d’une expérimentation de chef cuisinier très étoilé qui aurait tenté de concocter un plat extraordinaire. Ce chef cuisinier émérite aurait mis tous ces ingrédients dans un faitout en diamant et aurait passer la mixture à la centrifugeuse. A la dégustation, personne y compris le chef étoilé, n’aurait été en capacité d’interpréter la saveur du plat réalisé.

Dans l’expérimentation NASA les ingrédients sont numériques et la centrifugeuse le supercalculateur. Des expérimentations précédentes ont produit des clichés similaires à ceux obtenues avec Hardware/Hybrid Accelerated CosmologyCode (HACC) de la NASA. Il n’en est rien sorti. La « super-centrifugeuse » numérique n’est pas une analyseuse. Même l’IA la plus pointue y perdrait son latin.

Ces expérimentations n’ont jamais permis d’élucider l’Univers concocté par la relativité. Les chercheurs ne devraient-ils pas se poser la question d’une remise en cause de la théorie relativiste ?

La Méthode CQADSG – Jean-Claude ALLAMELLE ouvre une nouvelle voie à l’expérimentation numérique.

Méthode numéro 2 : Méthode CQADSG

Simulation du rayonnement thermodynamique de l’évènement Big Bang réalisée par Jean-Claude ALLAMELLE – Président du CQADSG (Centre Quinternaire d’Analyses de Données Scientifiques et Géodésiques) sur un ordinateur PC acer de 500 euros et de 15 ans d’âge avec le tableur Excel 365.

La Méthode CQADSG – Jean-Claude ALLAMELLE

La première phase de cette méthode a consisté à déterminer la paramétrique de l’évènement Big Bang, c’est-à-dire les paramètres physiques telles que : T-zéro, Energie, Masse, longueur d’onde.

La seconde phase a consisté à réaliser la simulation de la propagation du rayonnement thermodynamique de l’Energie Big Bang. Cette simulation a été réalisée avec le processus Art Mathématique.

Les mathématiques pratiquées par le process Art Mathématique sont les suivantes.

La géométrie bien sûr ! Mais la géométrie de Thalès de Milet 625-548 av JC qui a créé la géométrie avec ses fameux théorèmes, la géométrie de Pythagore 572 av JC – 482 av JC qui a créé la fonction racine (), la géométrie d’Archimède de Syracuse 287-212 av JC qui a créé la constante Pi.

Les sciences quantitatives ou mathématiques (Mathemata) de l’école pythagoricienne qui enseignait l’arithmétique, la géométrie, l’astronomie et la musique.

L’algèbre de Muhammad ibn Musa al-Khwarizmi qui était un mathématicien, astronome et géographe persan du IXe siècle (790 ; 850) et qui, dans un premier ouvrage, exposa le système décimal et les règles du calcul indien.

L’Art Mathématique est une machine à produire des informations.

Ces nombres sont des Empreintes Kelvin du Rayonnement Thermodynamique Big Bang

Les sources des données algorithmiques du concept Art Mathématique

Les traitements d’expérimentations – « Physico » – Physique par la mise en œuvre de postulats théoriques avérés et de formules de calculs précises.

Les expérimentations numérico-mathématico-physico-chimiques de l’Art Mathématique ont été « nourries » de données théoriques et de données scientifiques de personnalités ou d’organisations. Ces données, seront citées à l’occasion des différents cours et exposés.

Thalès de Milet 625-620 av JC qui a créé la Géométrie.

Pythagore 572-482 av JC qui a créé la fonction racine ().

Archimède de Syracuse 287-212 av JC qui a créé la constante Pi.

Eratosthène de Cyrène 275-195 av JC qui a créé la géodésie.

Isaac Newton 1642-1727 qui a créé le phénomène gravitation.

Olé Romer 1644-1710 qui a créé la constante C.

Données de Niels Bohr.

Données de Albert Einstein

Données de Ludwig Boltzmann

Données de Joseph Stefan

Données de Organisation géodésique

Données de Marie Curie

Données de Pierre Curie

Données de André-Louis Debierne

Données du Géotherme terrestre de l’Université de Lyon, Daniel Piquet, Jean-François Moyen.

Données de Michel GERY INSA Lyon -TRANSFERT DE CHALEUR PAR RAYONNEMENT.

Données de Jean-François SACADURA – Université de Lyon INITIATION AUX TRANSFERS THERMIQUES.

Données de Murat BORATAV (professeur à l’Université Paris 6 et chercheur au Laboratoire de physique nucléaire et des hautes énergies, à Paris) et Tiina SUOMIJÄRVI (professeur à l’Université Paris-Sud 11 et chercheur à l’Institut de physique nucléaire d’Orsay).

Données du CERN concernant l’objectif des 13 TeV du LHC

Données des sondes spatiales WMAP, COBE, James Webb de la NASA

Données de USGS NASA

Données de calcul de l’institution John G. Wolbach Library, Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics. Provided by the NASA Astrophysics Data System.

Données des sondes spatiales PLANCK et ISO de l’ESA

Données du CEA

Données du CLEA, Laboratoire d’astronomie du CEA Université de Paris Sud ORSAY

Données du MIT

Données des astronomes russes Georgij Krasinsky et Victor A. Brumberg

Données de l’IMCCE – Observatoire de Paris

Données des Journalistes et auteurs du Point : Chloé et Durand Parenti

Données Bathymétrie de l’Université du Canada

Données université de Chine « Wuhan University »

Le CQADSG de Jean-Claude ALLAMELLE a réalisé des expérimentations Art Mathématique sur la totalité des objets et phénomènes de l'Edifice Monde. La bibliothèque de données, ainsi réalisée, constitue l'OmniScience.

Les expérimentations numérico-mathématico-physico-chimiques ont été opérées sur l’ensemble des Objets physiques et la complétude des Phénomènes de la Nature, Vivants compris, qui peuplent l’Edifice Monde.

Citons le Rayonnement « terme » employé par la Science et qui est en réalité, de par les résultats du processus d’exploration expérimentale, « un flux thermodynamique de nature ondulatoire », l’Univers, « l’Espace », « le Temps », la Matière, l’Energie, l’Etoile (Soleil), la Planète (Terre), la Gravitation duale, l’Atmosphère planétaire, le Climat planétaire, la Biosphère planétaire, le Vivant planétaire, l’Humain.

Les expérimentations numérico-mathématico-physico-chimiques ont produit à chaque fois des banques de données arithmétiques révélatrices d’informations relatives à l’émergence, au fonctionnement, à l’évolution, à l’histoire et au devenir de l’ensemble Edifice Monde et, subséquemment, aux émergences, aux fonctionnements, aux évolutions, aux histoires et aux futurs de chacun des objets et phénomènes cités. Ces données révèlent en outre la physique de la fonction gravitation duale qui organise l’harmonie du Cosmos universel qu’est l’Espace, de même que celle du Cosmos planétaire qu’est la Biosphère.

L’art mathématique, c’est l’art de produire, par les nombres, les informations qui explicitent le fonctionnement et l’histoire de l’Edifice Monde. La totalité des informations produites sont précises et exactes, car mesurées et corroborées. Autrement dit vérifiées !

Ainsi, la puissance de résolution de l’Art mathématique réside dans sa capacité à rendre l’invisible visible par la quantité, la singularité et l’extrême précision des nombres produits. Dans sa capacité à mettre en exergue l’envers des décors en quelque sorte. Le philosophe parlerait d’un process qui exprime l’indicible par la magie des nombres.

Les résultats de l’expérimentation de l’Univers par la méthode CQADSG de Jean-Claude ALLAMELLE

Ces empreintes E.K.R.T sont corroborées par les missions COBE - WMAP - PLANCK

A quoi correspondent les Empreintes de Rayonnement Thermodynamique ?

La toute première information qui résulte de la simulation Art Mathématique de décryptage de l’Univers est la suivante : « l’Univers est une sphère non euclidienne ».

Plus précisément, l’Univers est une sphère certes, mais elle n’est pas caractérisée par la dimension surface. Pour paraphraser le corps humain, je dirai l’Univers n’est pas un épiderme (surface), c’est un ventre (espace).

– Si l’Univers était une surface, il ne pourrait pas contenir les quantités considérables d’étoiles et de planètes dont témoignent les images diffusées par les télescopes terrestres et spatiaux.

– Si l’Univers n’est pas euclidien, alors les mathématiques qui découlent de ce concept géométrique comme le calcul infinitésimal, les équations différentielles, les géométries elliptique, hyperbolique, de Gauss, de Point Carré, de Euler, de Albert Einstein, sont inappropriées à l’élucidation de la physique de l’Univers réel. Cela veut dire que « le paradigme relativité » qui postule un Univers surface est sujette à caution.

Ces mathématiques sont adaptées à la Géodésie uniquement.

ZOOM  SUR LES CONFLITS EN COURS

Le conflit du Moyen Orient : Israël - Palestine

Pourquoi tout au long de l’histoire de l’humanité, l’homme s’est-il évertué à cannibaliser l’humain ? Cannibalisme social et sociétal. Cannibalisme culturel. Cannibalisme cultuel. Cannibalisme politique. Cannibalisme économique.

Toutes les peuplades terriennes, sans exception, tous continents confondus, ont eu à subir des affres génocidaires. Des massacres de masse perpétrés par des pharaons, par des envahisseurs, par des conquistadors, par des colonisateurs, par des empereurs, par des tyrans, par des dictateurs, par des révolutionnaires, par des croyants intégristes, par des identitaires sectaires, par des mafieux cupides. D’une manière générale, le poison de la cupidité semble déterminer les actions des hommes. C’est comme une fin en soi.

L’exemple le plus éminent est ce peuple de Judée qui s’est fait « génocider » à répétition. Aujourd’hui, les deux fratries de ce peuple martyr, descendants d’Israël et d’Ismaël, s’affrontent sur fond de cannibalisme cultuel en une lutte à mort pour la possession de Jérusalem. Un différent, semble-t-il, à propos d’une interprétation tragique d’un livre commun : la Bible. Cet affrontement ne se justifie pas. Les deux fratries devraient pouvoir se réconcilier et faire nation au sein d’un état unique avec Jérusalem pour capitale. Cela sera fait lorsque les illuminés de deux camps seront neutralisés.

L’être vivant doit se nourrir pour vivre et pour survivre. Pour vivre et pour survivre, le vivant doit se nourrir de vivants. L’être vivant, animal ou homme, doit tuer pour assouvir sa faim, pour assurer sa survie, la survie de son groupe et de son espèce. Mais au contraire de l’animal qui arrête de chasser dès sa faim assouvie, l’homme continue de tuer, même quand il n’a plus faim. Il tue par passion. Il exécute par plaisir. Il assassine par désir de suprématie. Il extermine par envie de toute-puissance.

Tout au long de l’histoire de l’humanité, les massacreurs, les oppresseurs, les envahisseurs ont été éjectés de cette histoire, les pieds devants. Ils ont été débarqués, soit par la révolte des opprimés, soit par la riposte des envahis, soit par l’action ultime de la Nature, empalés sur le glaive du Temps. A côté de cela, les populations victimes se sont toujours relevées et reconstituées. Le Temps aidant !

Si la prédiction de Platon en faveur d’une rédemption de la société humaine par la grâce de l’omniscience s’avérait juste, alors peut-être serait-il possible d’envisager que l’enseignement de l’Omniscience à tous les peuples terriens, permette de panser les plaies de l’histoire et des actualités, jusqu’à ambitionner, collectivement, un retour au Graal de l’Éden des origines ?

Conflit Russie - Ukraine. Guerre nucléaire ? Nous n'allons pas tous mourir !

Si une guerre nucléaire devait survenir, le ou les pays déclencheurs subiront des effets de type Hiroshima ou Hiroshima ++++ détruisant leurs mégalopoles. Surtout si ces pays déclencheurs de conflits ne disposent pas de moyens fiables d’interception de missiles, ce qui est le cas, actuellement. Il y aura des populations décimées, des infrastructures et des villes rasées. Mais aucun effet irréversible sur la Nature.

A l’inverse les pays agressés qui sont très bien pourvus en moyens d’interception, pourront faire exploser les missiles en vol. Ces explosions en altitude ne provoqueront pas d’impact de type Hiroshima. Tout juste des effets de souffle en fonction de l’altitude, et puis, le champignon d’hydrogène résultant de l’explosion s’évanouira dans l’espace, sans aucune conséquence pour la Nature.

Sans compter qu’en raison des distorsions de distances, engendrées par les SIG en vigueur (erreurs de l’ordre de 1° à 2° de latitude et de 1° à 2° de longitude en moyenne), la plupart des missiles porteurs de bombes guidées par GPS finiront à la baille.

Il faudrait 9 960 000 impacts de bombes Hiroshima pour cribler l’ensemble des terres émergées d’impacts du type Hiroshima. Le stock total des pays détenteurs est seulement de 11 833. Quand bien même toutes ces bombes des arsenaux exploseraient de conserve, il y aurait quantité d’impacts locaux, mais dont l’effet sur la planète serait celui d’une nuée de bourdons asiatiques sur le cuir plâtré de boue d’un éléphant mâle solitaire.

Pour porter atteinte à la Planète, il faudrait des bombes détenant puissance de volcan. Cela est hors de portée de la capacité de la Science. Son ignorance de sa mécanique et sa fonction au sein d’une planète en général et de la Terre en particulier.

Explosions des bombes en atmosphère pour les pays agressés

Explosion au sol pour les pays agresseurs - Impact de type Hiroshima ++++

Explosion au sol pour les pays agresseurs - Impact de type Hiroshima

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