L’équation de l’Édifice Monde et du Vivant – La relation de subsomption physico-mathématique E=M=G=EC=U=T=D
L’équation de l’Édifice Monde et du Vivant est une équation de l’Omniscience. C’est une relation de subsomption physico-mathématique. Cette relation a été élaborée, fabriquée par les mathématiques de l’Art mathématique (la géométrie et l’arithmétique). Cette mathématique particulière a mis de côté le calcul infinitésimal et ses composantes que sont l’intégration ou calcul intégral et le calcul différentiel. Exit également l’algèbre qui a permis d’élaborer le calcul infinitésimal. L’art mathématique se fonde sur la physico-mathématique, c’est-à-dire sur l’association des réalités des physiques de l’énergie (E), de la matière (M) et de la Sphère. Les objets physiques de l’Édifice monde et de la Nature détiennent forme et physique de Sphère. L’Art mathématique s’exerce, se pratique par calculs numériques sur tableurs. Le tableur est, en quelque sorte, l’instrument qui permet de jouer la physico-mathématique. Pratique qui a permis d’élaborer, de créer les équations de la relation E=M=G=EC=U=T=D qui constitue l’équation de l’Édifice monde et du Vivant. Et qui est présentée dans l’image ci-dessous. Il n’est pas nécessaire de disposer d’un supercalculateur pour faire tourner ces équations en batterie. J’utilise un ordinateur ACER de 8 GB de mémoire vive. Et c’est optimum.
On entend par calculs numériques un ensemble de calculs qui sont réalisés sur un système informatique, encore appelé système numérique ou ordinateur. Les calculs numériques sont destinés à simuler des phénomènes naturels. Ces simulations étant destinées à réaliser des modèles mathématiques qui sont autant de traductions d’observations ou de modalités fonctionnelles des objets physiques étudiés. Ces modèles permettent de produire des prédictions exactes. Ces modèles permettent aussi de reproduire à échelle humaine les phénomènes modélisés. Les modèles mathématiques réalisés par la pratique de l’Art mathématique se rapportent aux objets physiques suivants (liste non exhaustive) : le rayonnement du Big Bang, le Temps, la géographie de l’Univers, le fonctionnement de la Gravité (la gravitation duale), la naissance et le fonctionnement du Soleil (d’une étoile), la naissance et le fonctionnement de la Terre (d’une planète), la naissance et le fonctionnement de l’Atmosphère planétaire, la naissance, le fonctionnement et l’évolution du Climat planétaire, la naissance, le fonctionnement et l’évolution du Corps humain, de la jeunesse à la mort. Etc.
Ce pouvoir est à prendre et à exercer, en partenariat, par toutes les entreprises technologiques, industrielles, financières qui souhaitent s’impliquer auprès de Edifice monde Omniscience Valley dans l’accomplissement de “véritables miracles humains”. Il s’agit de ne pas laisser l’initiative aux olibrius de la Tech et d’ailleurs dont les attitudes et les actes expriment un profond désir d’Enfer.
Depuis la plateforme “Edifice monde Omniscience Valley”, et avec le concours de l’Omniscience, nous sommes en capacité de créer notre Futur. Le Futur de l’Humanité ne se réalisera pas ailleurs que sur Notre Planète. Le Futur de l’Humanité ne se fabriquera pas à la Silicon Vallée. Technologie n’est pas Science et encore moins Connaissance ! Le moteur SQL de l’intelligence artificielle ne fait que synthétiser les données disponibles dans le Web. L’Omniscience n’y figure pas. Et n’y figurera jamais ! Et la Science dont les articles et les vidéos, dénuées de toute Connaissance véritable, pullulent, est seule pourvoyeuse en données. Effectivement, cette Science s’est montrée incapable de produire les équations fonctionnelles de chacun des objets physiques de notre Edifice Monde. Ces équations sont définies dans la matrice physico-mathématique, ci-dessus.
La résolution de la Théorie du Tout, c’est la révélation de la Connaissance du Tout. C’est l’avènement d’un nouveau paradigme de la Connaissance. C’est l’avènement de la Connaissance globale. C’est l’avènement de l’Omniscience ! La Connaissance globale ou Omniscience, c’est l’élucidation du Fonctionnement physico-mathématique de l’Édifice Monde et du Vivant par l’équation de l’Édifice monde et du Vivant (M=E=G=EC=U=T=D). La Construction de l’Édifice monde et du Vivant se déduit du Fonctionnement. L’Histoire de l’Édifice Monde et du Vivant se déduit de la Construction.
S’agissant de la réalisation de la matrice physico-mathématique, je revendique l’invention de la mathématique. De l’Art mathématique ! Mais je ne suis pas le créateur de la physique. Cette physique, ou plus exactement, les bases de ces physiques existent dans des manuels de physique (des “bibles”) qui ont été sciemment mis au placard par les recteurs des académies des sciences qui ont été subjugués par les sirènes de la relativité générale d’Albert Einstein dont le “hiatus irrationalis” est avéré. C’est-à-dire l’absence totale de liens avec les réalités des expressions multiples de la physique que sont M (Matière), E (Énergie), G (Gravitation), EC (Espace Ciel), U (Univers), T (Temps), D (Distance). Les mises en perspective de ces bases physiques m’ont permis de révéler une physique nouvelle : une matière “naturelle” qui n’est pas celle du modèle standard des particules, une nouvelle table de la matière qui n’est pas celle de Mendeleïev, une gravitation duale qui n’est pas celle de Newton, ni celle d’Einstein, un rayonnement thermodynamique qui n’est pas le rayonnement électromagnétique de Maxwell-Lorentz, une paramétrique de l’événement Big Bang qui n’est pas celle de Planck, des lois de mouvement des astres qui ne sont pas celles de Kepler, un modèle d’évolution climatique qui n’est pas celui du gaz à effet de serre, qui est entièrement faux, mais dont le traitement consiste à vouloir écoper les molécules de carbone C12 et C14 qui seraient en excédent dans l’atmosphère terrestre (pour empêcher cet envahissement, il faudrait empêcher les vivants de respirer, car les vivants animaux et végétaux inspirent de l’oxygène et expirent du C12), il faudrait empêcher les volcans d’éructer du C14. C’est comme si, afin de lutter contre la montée des eaux marines, qui n’est pas une réalité, on décidait d’écoper les océans en armant les riverains de sceaux de plage mécanique. Etc., etc…
La Connaissance globale ou Omniscience se fonde sur la mise en égalité des 7 Entités Physiques Matricielles M,E,G,EC,U,T,D (EPM) de la Nouvelle Physique de l’Omniscience par les équations de la relation M=E=G=EC=U=T=D de l’Art mathématique. Les 7 EPM régissent la Genèse, le Fonctionnement, l’Évolution (le Devenir) des composantes de l’Édifice Monde et du Vivant. Elles font naître, fonctionner, circuler, évoluer les Étoiles, les Planètes, les Galaxies, les Espèces, les Individus, les Phénomènes de la Nature : l’Eau, l’Atmosphère, les Continents, les Reliefs, les Climats, les Nuages, les Précipitations, les Ouragans. En fait, la totalité des manifestations physiques. Ces 7 EPM ont jailli simultanément à l’occasion du jaillissement soudain de 7 rétroactions positives en 7 séquences de 1 millième de seconde.
Malgré les appels adressés à certaines universités ou centres de recherche, l’Omniscience ou Connaissance Globale ne peut toujours pas être diffusée par les canaux scientifiques qui s’y opposent au nom de la préservation de leurs intérêts et privilèges de pontes de la Science. Car la différence entre Science et Science Globale ou Omniscience c’est le rapport à la Vérité scientifique. Les théories et enseignements de la Science ne sont pas démontrables et donc pas vérifiables. C’est, à proprement parler, de l’inconnaissance. A l’inverse, les propositions de la Science Globale ou Omniscience sont démontrées et vérifiées. Les présentations de l’Omniscience se feront par démonstrations mathématiques et vérifications physiques, autrement dit par la physico-mathématique, et plus précisément par les équations de la relation M=E=G=EC=U=T=D. Je persiste à croire qu’un établissement universitaire établissement universitaire public ou privé, quelque soit la nationalité, osera répondre à ma demande par l’attribution d’une chaire me permettant de présenter et d’enseigner les résultats d’une quête solitaire des vérités scientifiques qui a durée quarante années. Si cette demande demeurait sans réponse, je me résoudrais à créer l’Université digitale “Édifice monde Omniscience”, et proposer du présentiel dans les murs d’une institution religieuse. Après tout, l’Histoire de l’Édifice monde et du Vivant est à la fois physico-mathématique et religieuse.
En matière d’enseignements, chaque sujet doit donner lieu à un traitement physico-mathématique, à savoir une démonstration mathématique avec apport de preuves physiques incontestables.
En matière d’Histoire, chaque événement doit répondre sans détours à ces six injonctions : Quand ? – Où ? – Qui ? – Quoi ? – Pourquoi ? – Comment ? En matières scientifique et historique, imprécisions et approximations, hypothèses et probabilités sont dénuées de crédibilité par défaut de vérité et constituent donc des fautes disqualifiantes.
L’Art mathématique s’apparente à un art musical qui dispose de son propre solfège, dont les fonctions sont des notes et les équations sont des accords. Le tableur est l’instrument qui permet de jouer la musique de l’Art mathématique.
Le tableur Excel sera utilisé seulement pour la possibilité d’opérer des calculs sur des colonnes multiples et de tirer les cellules sur des milliers de lignes.
Les fonctions tableurs Excel ou de tout autre tableur, ne sont pas utilisées. Elles sont impropres à la physico-mathématique qui utilise ses multiples et propres fonctions. Fonctions qui, par ailleurs, sont mises en équations par des formules spécifiques élaborées avec la méthodologie Art mathématique.
Réalisation d’un SIG terrestre dynamique, réalisation d’un SIG de l’Univers et du Temps au sein de l’Espace-Ciel, création et mise en ligne de logiciels de calculs des paramètres historiques, physiques et dynamiques des étoiles et des planètes, logiciels de calculs d’orbites géostationnaires pour les satellites et les stations spatiales autour d’un astre quelconque planète ou étoile. Réalisation des films de l’histoire de l’Édifice monde et du Vivant. Enseignement avec démonstrations expérimentales du fonctionnement physique du Soleil en particulier et des étoiles en général, idem pour la Terre en particulier et les planètes en général, démonstrations expérimentales du fonctionnent physique du vivant animal, végétal et humain… et bien d’autres développements, comme par exemple la présentions-réalisation d’un prototype de construction d’une centrale de production d’électricité themomoléculaire ou thermochimique sans tour de refroidissement… Mise en production d’un tableur spécifique Art mathématique, ce n’est créer l’intelligence mathématique, une intelligence artificielle Pro. Ce type d’intelligence n’est pas autonome, elle n’est pas créatrice de connaissance. L’Art mathématique c’est l’art de l’expérimentation mathématique. Cet art consiste à modéliser par les mathématiques, les mécaniques et dynamiques fonctionnelles des objets physiques de l’Édifice monde, de la Nature et du Vivant. D’où l’expression “physico-mathématique”.
C’est ici, et seulement ici, dans cette instance hors catégorie dans le classement Pisa, que vous apprendrez ce qu’est le Monde : comment il se construit, comment il fonctionne, quelle est son histoire, quel est son futur. C’est ici que vous apprendrez ce qu’est le Vivant : comment il se construit, comment il fonctionne, quelle est son histoire, quel est son futur (son devenir). C’est ici que vous apprendrez ce qu’est la Connaissance, comment elle s’est construite, par la création de l’écriture, puis celle de la géométrie, jusqu’à son aboutissement à l’Omniscience et à l’Art mathématique. C’est ici que seront proposées des solutions pérennes visant à résoudre les problématiques de l’énergie, de l’eau (centrales thermochimiques) ; les problématiques de déchets (déchets nucléaires, déchets industriels, déchets domestiques) ; les problématiques de reculs des traits de côtes et d’infiltrations d’eau salée ; les problématiques de maladies inguérissables (exemple les cancers par dialyse du sang) ; les problématiques de durée de vie (prolongement de l’état de jeunesse) ; les solutions visant à prévenir l’ampleur des phénomènes naturels.
Afghanistan, Afrique du Sud, Albanie, Algérie, Allemagne, Andorre, Angola, Anguilla, Antarctique, Antigua-et-Barbuda, Antilles-néerlandaises, Arabie saoudite, Argentine, Arménie, Artsakh(Haut-Karabakh), Aruba, Australie, Autriche, Azerbaïdjan, Bahamas, Bahreïn, Bangladesh, Barbade, Bélarus(Biélorussie), Belgique, Belize, Bénin, Bermudes, Bhoutan, Bolivie, Bosnie-et-Herzégovine, Botswana, Brésil, Brunei, Bulgarie, Burkina-Faso, Burundi, Caïmans, Cambodge, Cameroun, Canada, Canaries, Cap-Vert, Chagos, Chili, Chine, Chypre, Colombie, Comores, Congo, Cook, Corée du Nord, Corée du Sud, Costa Rica, Côte d’Ivoire, Croatie, Cuba, Curaçao, Danemark, Djibouti, Dominique, Égypte, Émirats arabes unis, Équateur, Érythrée, Espagne, Estonie, Eswatini(Swaziland), États-Unis, Éthiopie, Féroé, Fidji, Finlande, France, Gabon, Gambie, Géorgie, Géorgie du Sud, Îles Sandwich du Sud, Gibraltar, Grèce, Grenade, Groenland, Guadeloupe, Guam, Guatemala, Guinée, Guinée Equatoriale, Guinée-Bissau, Guyana, Guyane, Haïti, Honduras, Hong Kong, Hongrie, Îles Anglo-Normandes-Jersey et Guernesey, Îles Vierges, des États-Unis, Inde, Indonésie, Irak, Iran, Irlande, Islande, Israël, Italie, Jamaïque, Japon, Jordanie, Kazakhstan, Kenya, Kirghizistan, Kiribati, Kosovo, Koweït, Kurdistan, Laos, Lesotho, Lettonie, Liban, Libéria, Libye, Lituanie, Luxembourg, Macao, Macédoine du Nord, Madagascar, Madère, Malaisie, Malawi, Maldives, Mali, Malouines, Malte, Man, Mariannes, Maroc, Marshall, Martinique, Maurice, Mauritanie, Mayotte, Mexique, Micronésie, Moldavie, Monaco, Mongolie, Monténégro, Montserrat, Mozambique, Myanmar(Birmanie), Namibie, Nauru, Népal, Nicaragua, Niger, Nigéria, Nioué, Norfolk, Norvège, Nouvelle-Calédonie, Nouvelle-Zélande, Oman, Ossétie du Sud Alanie, Ouganda, Ouzbékistan, Pakistan, Palaos, Palestine, Panama, Papouasie, Nouvelle Guinée, Paraguay, Pays-Bas, Pays Bascaribéens, Pérou, Philippines, Pitcairn, Pologne, Polynésie française, Porto Rico, Portugal, Pount, Qatar, République centrafricaine, République démocratique du Congo, République dominicaine, Réunion, Roumanie, Royaume-Uni, Russie, Rwanda, Sahara occidental, Saint-Barthélemy, Saint-Christophe-et-Niévès, Sainte-Hélène, Ascension et Tristan da Cunha, Saint-Marin, Saint-Martin (France), Saint-Martin (Pays-Bas), Saint-Pierre-et-Miquelon, Saint-Vincent-et-les-Grenadines, Salomon, Salvador, Samoa, SamoaAméricaines, SaoTomé-et-Principe, Sénégal, Serbie, Seychelles, Sierra Leone, Singapour, Slovaquie, Slovénie, Somalie, Somaliland, Soudan, Soudan du Sud, Sri Lanka, Suède, Suisse, Suriname, Syrie, Tadjikistan, Taïwan, Tanzanie, Tchad, Tchéquie, Terres australes et antarctiques françaises (TAAF), Timor oriental, Togo, Tokelau, Tonga, Transnistrie, Trinité-et-Tobago, Tunisie, Turkménistan, Turques-et-Caïques, Turquie, Tuva, Ukraine, Uruguay, Vanuatuu, Vatican, Venezuela, ViêtNam, Wallis-et-Futuna, Yémen, Zambie, Zimbabwé.
Dans cette vidéo les chercheurs des universités françaises les mieux classées du classement Pisa 2024 confirment l’impuissance de la Science à élucider le Monde. Autrement dit ils avouent l’indigence des systèmes de recherche mondiaux.
Pourquoi tout au long de l’histoire de l’humanité, l’homme s’est-il évertué à cannibaliser l’humain ? Cannibalisme social et sociétal. Cannibalisme culturel. Cannibalisme cultuel. Cannibalisme politique. Cannibalisme économique.
Toutes les peuplades terriennes, sans exception, tous continents confondus, ont eu à subir des affres génocidaires. Des massacres de masse perpétrés par des pharaons, par des envahisseurs, par des conquistadors, par des colonisateurs, par des empereurs, par des tyrans, par des dictateurs, par des révolutionnaires, par des croyants intégristes, par des identitaires sectaires, par des mafieux cupides. D’une manière générale, le poison de la cupidité semble déterminer les actions des hommes. C’est comme une fin en soi.
L’exemple le plus éminent est ce peuple de Judée qui s’est fait « génocider » à répétition. Aujourd’hui, les deux fratries de ce peuple martyr, descendants d’Israël et d’Ismaël, s’affrontent sur fond de cannibalisme cultuel en une lutte à mort pour la possession de Jérusalem. Un différent, semble-t-il, à propos d’une interprétation tragique d’un livre commun : la Bible. Cet affrontement ne se justifie pas. Les deux fratries devraient pouvoir se réconcilier et faire nation au sein d’un état unique avec Jérusalem pour capitale. Cela sera fait lorsque les illuminés extrémistes des deux camps se feront neutraliser par leurs compagnons frères.
L’être vivant doit se nourrir pour vivre et pour survivre. Pour vivre et pour survivre, le vivant doit se nourrir de vivants. L’être vivant, animal ou homme, doit tuer pour assouvir sa faim, pour assurer sa survie, la survie de son groupe et de son espèce. Mais au contraire de l’animal qui arrête de chasser dès sa faim assouvie, l’homme continue de tuer, même quand il n’a plus faim. Il tue par passion. Il exécute par plaisir. Il assassine par désir de suprématie. Il extermine par ambition de toute-puissance.
Tout au long de l’histoire de l’humanité, les massacreurs, les oppresseurs, les envahisseurs ont été éjectés de cette histoire, les pieds devants. Ils ont été débarqués, soit par la révolte des opprimés, soit par la riposte des envahis, soit par l’action ultime de la Nature, empalés sur le glaive du Temps. A côté de cela, les populations victimes se sont toujours relevées et reconstituées. Le Temps aidant !
Si la prédiction de Platon en faveur d’une rédemption de la société humaine par la grâce de l’omniscience s’avérait juste, alors serait-il possible d’envisager que l’enseignement de l’Omniscience à tous les peuples terriens, permette de panser les plaies de l’histoire, de réduire les déflagrations des actualités, de faire régner la raison jusqu’à ambitionner un retour au Graal de l’Éden des origines.
Si une guerre nucléaire devait survenir, le ou les pays déclencheurs subiront des effets de type Hiroshima ou Hiroshima ++++ détruisant leurs mégalopoles. Surtout si ces pays déclencheurs de conflits ne disposent pas de moyens fiables d’interception de missiles, ce qui est le cas actuellement. Il y aura des populations décimées, des infrastructures et des villes rasées. Des États anéantis. Mais aucun effet sur la Nature.
A l’inverse les pays agressés qui sont très bien pourvus en moyens d’interception, pourront faire exploser les missiles en vol. Ces explosions en altitude ne provoqueront pas d’impact de type Hiroshima. Tout juste des effets de souffle en fonction de l’altitude, et puis, le champignon d’hydrogène résultant de l’explosion s’évanouira dans l’espace, sans aucune conséquence pour la Nature.
Sans compter qu’en raison des distorsions de distances, engendrées par les SIG en vigueur (erreurs de l’ordre de 1° à 2° de latitude et de 1° à 2° de longitude en moyenne), la plupart des missiles porteurs de bombes guidées par GPS finiront à la baille.
Il faudrait 9 960 000 impacts de bombes Hiroshima pour cribler l’ensemble des terres émergées d’impacts du type Hiroshima. Le stock total des pays détenteurs est seulement de 11 833. Quand bien même toutes ces bombes des arsenaux explosaient de conserve, il y aurait quantité d’impacts locaux, mais dont l’effet sur la Planète serait celui d’une nuée de bourdons asiatiques sur le cuir plâtré de boue d’un éléphant mâle solitaire.
Pour porter atteinte à la Planète, il faudrait des bombes détenant puissance de volcan. Cela est hors de portée de la capacité de la Science. En effet cette ignore totalement la mécanique de gestation et de fonctionnent du volcan. De son rôle et de sa fonction au sein d’une planète en général et de la Terre en particulier.
La première et principale raison, c’est d’avoir érigé en loi fondamentale le principe de symétrie ou principe de conservation. “On ne peut ni créer l’énergie ni la détruire ; on ne peut que la transformer en la faisant passer d’une forme à une autre. La conservation de l’énergie est l’une des lois fondamentales de la physique. La quantité de mouvement est aussi conservée. Le moment cinétique est une autre quantité qui est conservée. Ce sont là des relations mathématiques ayant trait à l’existence des symétries dans les équations qui décrivent la réalité”.
La seconde raison c’est de ne pas avoir créé les “instruments” de modélisation mathématique. Préférant investir dans des technologies aussi “foireuses” que coûteuses : les accélérateurs de particules, les supercalculateurs, les sondes spatiales, les observatoires astronomiques, les sondes spatiales du type WMAP, Planck, JUICE, les télescopes spatiaux comme Hubble et James Webb… Technologie n’est pas Science. Elle n’est pas créatrice de connaissance, fût-elle consacrée intelligence artificielle. Il suffirait de demander à GPT4 de résoudre la théorie du tout.
La troisième raison c’est son enfermement sectaire dans le culte de l’athéisme. Son adhésion aux idéologies du hasard, du néant et du relativisme. Sa cécité aux réalités des physiques de l’Édifice monde et l’irréalisme qui caractérise le traitement des phénomènes de la Nature ! L’irrationalité et l’indétermination des mathématiques statistiques.
Empédocle (495 avant J-C – 435 avant J-C) est l’initiateur de ce principe de conservation. Il a théorisé ce principe en réponse à la question « Quelle est l’origine des choses ? » que les érudits grecs s’étaient engagés à résoudre afin d’établir la connaissance. En fait, cette question est la formulation initiale de la quête de la Théorie du Tout. Effectivement, selon les érudits grecs, connaître l’origine des choses devait permettre de tout connaître du monde. Afin d’élucider ce questionnement, Empédocle proposa le concept de « conservation ». Il théorisa un principe qui concilie la permanence des substances, (leur conservation) avec le changement perpétuel des apparences des choses au sein de l’Univers. Il stipula que la vérité, c’est-à-dire « la connaissance véritable » est assujettie aux formes simples qui se conservent. Ce qui veut dire qu’une proposition peut être qualifiée de « vérité scientifique » dès lors qu’elle fait état d’éléments qui demeurent inchangés au cours d’un processus de transformation. Empédocle énonça son concept comme suit : « Ce qui nous apparaît comme le commencement ou la fin d’un être n’est qu’une illusion ; en réalité, il n’y a rien que mélange, réunion de plusieurs substances. Les éléments dont toutes les choses sont composées consistent en quatre substances différentes incréées et impérissables. Ces quatre éléments, l’eau, la terre, le feu et l’air, sont donc les principes composant toutes choses.
Empédocle conclut son développement par cet axiome : « Rien ne naît de rien et rien ne retourne à rien. »
Antoine Lavoisier (18ième siècle) reformula l’axiome d’Empédocle de la manière suivante :
« Rien ne se perd et rien ne se crée, tout se transforme »
« Autre source de production d’énergie de masse : considérons par exemple le choc d’un proton en mouvement rapide, par conséquent très énergétique selon la terminologie courante, contre un autre proton, immobile celui-ci. D’une collision de cette espèce on voit souvent émerger, outre les protons initiaux, d’autres particules ayant des masses appréciables. Ce fait est prodigieusement instructif. En effet, à la vitesse près, les deux protons qui émergent se manifestent comme étant absolument identiques aux deux protons qui constituaient à eux seuls le système physique incident. Dans ces conditions, de la masse a nécessairement été créée, celle de toutes les autres particules, et par conséquent nous ne pouvons plus à la fois garder la masse comme mesure de la quantité et de continuer à dire que celle-ci est conservée. Mais outre, cet abandon du vieux principe de conservation de la matière, du principe de Lavoisier, n’est pas le seul que l’on doive faire. »
Cette expérience de l’énergie de masse consacre la non-conservation de la quantité de matière, la non conservation de la quantité d’énergie.
Cette expérience invalide le principe de conservation, et par conséquent le concept de symétrie.
Le document RADIOACTIVITE ENERGIE NUCLEAIRE de Gaston Dupuy – Presses Universitaires de France (1975) fait état des travaux conduits par Marie Curie sur la physique de la radioactivé naturelle. La radioactivité naturelle est un phénomène spontané, non influençable par les divers agents physiques connus : température, pression, densité. Phénomène inopérant dans le vide. Plus largement, aucun phénomène physique n’interagit avec le vide ni au sein du vide.
Marie et Joliot Curie mirent en évidence qu’au cours des désintégrations radioactives, « les corps simples ne se conservent pas ». Ils se transforment lentement les uns dans les autres. C’est ainsi que l’uranium ordinaire, de poids atomique 238, transmute de moitié en 4 650 millions d’années en uranium de poids atomique 234 ; cet uranium 234 se change à son tour en 270 000 ans en ionium ; l’ionium en 83 000 ans en radium ; le radium en 1 590 ans en radon ; le radon en 4 jours en radium A, et ainsi de suite, jusqu’au dernier maillon de la chaîne qui serait le plomb.
Ces transformations chimiques en cascade, ou « transmutations » qui aboutissent à des éléments non seulement de natures, mais surtout de masses différentes, attestent que la quantité de matière ne se conserve pas. Donc la Masse (la matière) ne se conserve pas. Dans la mesure ou M=E, alors l’énergie, également, ne se conserve pas.
La symétrie ne constitue donc pas une vérité scientifique.
La conservation ne constitue donc pas une vérité scientifique.
L’invalidation du concept de symétrie et donc du principe de conservation invalide la théorie de jauge. L’invalidation de la théorie de jauge, consacre l’invalidation du modèle standard des particules. L’invalidation du modèle standard consacre l’invalidation de la totalité du spectre physique de la science.
C’est le cas de l’astrophysique, des théories, théorèmes généraux et équations de la Mécanique céleste, de la théorie des planètes, du théorème du mouvement de centre de gravité, du théorème du moment cinétique, de la loi de Newton, des équations du problème de N corps, du mouvement elliptique, des unités astronomiques dans le système solaire, du théorème de Jacobi, des équations canoniques, de la théorie de Delaunay, des variables de Delaunay, de la théorie de Lagrange, des équations de Lagrange.
C’est le cas des sciences SVT.
C’est le cas du nouveau paradigme de la connaissance en vigueur : la relativité de Albert Einstein qui est adossée au concept de symétrie.
C’est le cas des objets et des phénomènes déduits des équations différentielles comme le boson de Higgs, le trou noir, la matière noire, l’énergie du vide… Le modèle Big Bang standard.
C’est cas de la notion de gaz à effets de serre, etc. etc.
L’origine de la démarche de Popper.
Lors d’un séminaire, Popper a indiqué l’origine de sa démarche, en rappelant qu’au début du XXe siècle, alors qu’il était étudiant, il a vu l’éclosion d’une profusion de « théories nouvelles souvent échevelées » (La quête inachevée, p. 60). A ce moment-là, il s’intéressait simultanément à la relativité d’Einstein, à la psychanalyse freudienne, à la psychologie adlérienne et au marxisme. Parmi les étudiants, ces théories faisaient l’objet d’intenses débats. Karl Popper a alors eu le sentiment que les trois dernières doctrines « en dépit de leur prétention à la scientificité, participaient davantage d’anciens mythes que de la science » (La quête inachevée, p 61).
La théorie d’Albert Einstein lui paraissait différente. Il a remarqué que, selon Einstein lui-même, sa théorie serait intenable si elle ne parvenait pas à passer certains tests.
Einstein annonce : « Si le décalage vers le rouge des lignes spectrales dû au potentiel de gravitation devait ne pas exister, la théorie générale de la relativité serait insoutenable » (Einstein Albert, 1917, cité et traduit par Popper, la quête inachevée, p.49). Selon Popper, cette attitude autocritique qui admet que l’on puisse infirmer une théorie est caractéristique de la Science [1]
« J’en arrivais de la sorte à la conclusion que l’attitude scientifique était l’attitude critique. Elle ne recherchait pas de vérifications, mais des expériences cruciales » (La quête inachevée, p. 49).
Document Patrick Juignet. Publié le 6 Mai 2015.
Georges Lemaître (1894-1966) était fasciné par la relativité générale d’Einstein à qui il vouait une profonde admiration. En 1923, il reçut une bourse du gouvernement belge afin d’étudier à l’étranger. Il passa une année à Cambridge, en Angleterre, où il apprit l’astronomie stellaire sous la direction d’Eddington. Avant d’arriver à Cambridge, il avait déjà étudié l’œuvre de ce dernier. L’année d’après, il se rendit au Harvard College Observatory et œuvra avec Harlow Shapey (1885-1972), directeur de l’Observatoire, sur le problème des nébuleuses. Lemaître séjourna plus tard au Massachusetts Institute of Technologie (MIT) où travaillaient alors Edwin Hubble qui évaluait les distances stellaires en observant les étoiles variables de type Céphéides, de même que Vesto Slipher qui mesurait leurs vitesses à partir de leurs décalages spectraux. Tout en s’intéressant aux investigations des deux scrutateurs américains, Lemaître travailla sa thèse de doctorat dont le thème avait été fixé par Eddington : « les champs gravitationnels dans les fluides en relativité générale ».
Les travaux de thèse de Georges Lemaître ne furent pas concluants. Albert Einstein reconnut cet échec et, dans une lettre datée du 7 mai 1952, adressée à M. Solovine, reconnut l’absence de tout rapport logique entre ce qu’il appelait l’ensemble “S’’ de ses propositions théoriques (die gefolgerten Sätzte) et le niveau “E’’ de la perception sensible (die unmittelbaren Sinnes-Erlebnisse). C’est ce même « hiatus irrationalis » que précédemment et qu’il confirma par cette déclaration plus explicite : « Des principes, logiques et bien formulés, aboutissent à des conséquences, totalement ou presque totalement, extérieures aux limites du domaine actuellement accessible à notre expérience. Alors, pour de longues années, un travail empirique, à tâtons, sera nécessaire pour établir si les principes de la théorie pourraient décrire la réalité. Voilà la situation exacte de la théorie de la relativité. » Einstein – Comment je vois le monde.
Le Timée de Platon avait fait l’objet de critiques de la part de philosophes réputés. Ceux-ci avaient fait le constat d’un « hiatus irrationalis » entre la Nature décrite par Platon dans le Timée et la Nature sensible (la réalité de la physique).
A cette critique Platon avait répliqué : « Vouloir éprouver un phénomène physique au contrôle de l’expérience, ce serait méconnaître la différence entre les hommes et les dieux ; car seul un dieu (…) possède le savoir et le pouvoir nécessaires ; tandis que parmi les hommes nul n’est capable (…) ni ne le sera jamais à l’avenir. »
Après avoir constaté « la situation exacte de la théorie de la relativité », Albert Einstein prononça quasiment la même réplique que Platon : « Celui qui entreprend de se singulariser dans ce monde de la vérité et de la connaissance, celui qui se voudrait un oracle, échoue piteusement sous l’éclat de rire des dieux. Albert Einstein. Comment je vois le monde.
En 2008, Makoto Kobayashi, Toichiro Nambu et Toshihibe Maskawa reçurent le prix Nobel de physique pour leurs travaux sur les « Brisures de symétrie ». Travaux qui invalidèrent le principe de symétrie. Pourtant la Science n’en prit pas acte. Les académies ne changèrent pas les enseignements fondés sur le principe de symétrie.
Ce principe de symétrie avait fait l’objet de remises en cause par le passé.
Ce fut le cas au 18ième siècle par Leibnitz (1646-1716) qui s’était ainsi questionné : « Pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ? … « Si le monde était parfaitement symétrique, il n’y aurait aujourd’hui rien plutôt que quelque chose. »
Ce fut le cas de Pasteur (1822-1895) qui, à l’issue de ses travaux sur les cristaux de sel d’acide tartrique, avait déclaré : « L’Univers est asymétrique et je suis persuadé que la vie, selon ce que nous en savons, est un résultat direct de l’asymétrie de l’Univers ou de ses conséquences indirectes. L’Univers est asymétrique… L’asymétrie, c’est la vie ! »
Cette vidéo constitue une approche rapide des causes du changement climatique par l’Art mathématique .
Lorsque la Science, par la voix du GIEC, prédit la « montée » des eaux marines à cause du réchauffement climatique qui engendre sa « dilatation ». C’est proprement ahurissant ! Comment les participants à cet organisme, qui sont censés être des physiciens pointus, ignorent-ils que la physique enseigne que l’eau fait partie des rares éléments qui ne se dilatent pas sous l’effet de la chaleur. L’image ci-dessus le démontre. L’image qui suit montre que ce sont les bordures continentales qui s’enfoncent dans les profondeurs et qui sont causes des reculs des traits de côtes.
Sur le document iGn (France & Pologne), ci-dessus, nous avons des flèches de deux couleurs qui signalent les mouvements verticaux des terres émergées, continents et îles. Les flèches rouges indiquent une élévation d’altitude par rapport au niveau de la mer, et les flèches bleues démontrent une baisse d’altitude toujours par rapport au niveau de la mer. Les flèches bleues indiquent plus précisément que les bordures des continents et des îles (les marges continentales) s’enfoncent dans les profondeurs. Ce mouvement de plongée est dû à l’expansion des fonds marins qui est la traduction physique de l’expansion de la Terre. Les plaques océaniques repoussent les continents de part et d’autre des failles. En se refroidissant, ces plaques s’enfoncent en entrainant les bordures continentales. Les longueurs des flèches précisent les vitesses de ces mouvements verticaux. Quinternaire-CQADSG produira des documents, non pas avec des flèches, mais avec des nombres précis en millimètres.
Cette question sera abordée à l’occasion des cours relatif au fonctionnement des planètes et au donc au fonctionnement de la Terre.
Deux effets concomitants : édification de la structure du Temps. Squelette du Temps est plus approprié. Ce squelette est une figure spectrale. (T), chaque strate est une sphère relative à une séquence du Temps – édification de l’architecture de l’Univers (U), Squelette de l’Univers est plus approprié. Ce squelette est une figure spectrale. Chaque strate est une sphère relative à un étage de l’Univers.
L’Univers n’est pas l’espace, l’espace-ciel contenant le monde. Contenant l’Édifice monde. L’Univers c’est la géographie de l’Édifice monde. La nomenclature des données relatives à l’Univers devraient permettre de réaliser le “GPS” de l’Espace. Le GPS de l’Espace-Ciel. Les étoiles et les planètes demeurent dans la zone géographique où elles naissent.
La somme des séquences de temps donne l’âge exact de l’Édifice Monde. Chacune de ces séquences donne aussi, pour un objet stellaire quelconque, l’année de son émergence après Big Bang ainsi que son âge précis en années.
La somme de ces séquences donne l’Arborescence des Temps HistoSpatioGéologiques. Cette Arborescence des temps HistoSpatioGéologiques. Ce déploiement du temps depuis l’évènement Big Bang sur le véhicule rayonnement thermo-électromagnétique, absorbe l’échelle des temps géologiques ; de même que la totalité des chapitres historiques séquentiels qui relatent l’histoire et le devenir de l’Édifice Monde.
La dernière onde en cours de sphérification porte le numéro 12 278. Cette fermeture aura lieu dans 9 000 100 ans. Après la clôture de cette séquence l’Édifice monde sera âgé de 16 503 005 000 ans. L’Univers sera affublé de 12 278 étages.
Selon les attendus de l’Omniscience : pour répondre à ces deux formulations, il convient de résoudre cette double interrogation ? Le monde existe-t-il depuis toujours ? Ou bien est-il né ? A-t-il commencé ? L’évènement Big Bang apporte une réponse absolue à cette double interrogation. L’évènement Big Bang stipule un commencement, donc une naissance. Ce qui veut dire que notre monde résulte d’un acte de création. Qui en est l’auteur ?
Les esprits croyants parleront de création divine. Les esprits se disant athées parlerons de hasard et questionneront : « Si c’est Dieu, qui a créé Dieu ? »
A cette triple interpellation, l’Omniscience réplique : à la première, qu’il s’agit du miracle initial ; à la seconde, que le hasard n’est pas créateur et le hasard ne s’applique pas à une unité, le hasard est une loterie, il s’appliquera aux vivants, nous verrons comment ; et à la troisième, que Celui qui a pu créer ce monde exceptionnel détient assurément la capacité de s’auto-engendrer.
Finalement, ces questions sont veines. Car le monde existe, puisque nous sommes là. Le monde existe et il a commencé. Ce qu’il importe de savoir c’est comment ce monde s’est construit. Ce qui est certain, c’est que notre monde ne s’est pas construit par nucléosynthèse.
Ci-dessous la vue en coupe de l’Édifice Monde depuis un regard extérieur. Ce que le Créateur voit de l’Édifice Monde depuis la fenêtre de son Monde : le Monde du Verbe et des Archanges.